Archive for juillet, 2008

Métaphysique l’écrivain 6 : Marc Vassart.

samedi, juillet 19th, 2008

 

 

Qui sommes-nous ?

Un singe nu.

 

D’où venons-nous ?

D’Afrique.

 

Où allons-nous ?

Nulle part, j’ai bien peur.

  

 

Marc Vassart

 

 

 

 

 

 

 

Les larmes étaient leur pardon.

Marc Vassart.

Editions Le Navire en Pleine Ville.

Des larmes qui coulent sur des joues fort semblables aux miennes… L’érudition en prime 🙂 .

Si les cachalots commencent à vous barber, poursuivez le dugong en mer indonésienne dans le sillage de Marc Vassart.

  

Et Marc?

Encore !

Métaphysique de l’Ecrivain 5 : Elisabeth Vonarburg.

jeudi, juillet 10th, 2008

Qui sommes-nous ?  

Nous sommes des animaux qui racontent des histoires.

 

 

D’où venons-nous ?

Nous venons des histoires de bien d’autres avant nous.

 

 

Où allons-nous ? 

Nous allons vers la fin de notre histoire, qui n’est pas la fin de toutes les histoires.

 

 

 

Elisabeth Vonarburg.

 

  

Le Silence de la Cité.

Elisabeth Vonarburg.

Editions Alire.

  

            .

            Avec la petite fille aux pouvoirs étranges, enfermée avec son créateur au coeur du complexe souterrain qui a protégé les immortels de l’apocalypse, ou la jeune femme en colère qui, à la surface dévastée, de la Terre mènera ses pareilles à la révolte et à la liberté, écoutez l’éloquent Silence de Dame Elisabeth.

Métaphysique de l’écrivain 4 : Roland C. Wagner

samedi, juillet 5th, 2008

  

Qui sommes-nous ?

 

— Des têtes de pioche.

 D’ou venons nous ?

 — De loin.  

Où allons-nous?  

— Aussi loin que possible.

 

 

 Roland C. wagner

 

 

                                                                   

L.G.M

Roland C. Wagner

Editions le bélial

 

Lorsque l’Urss en pleine forme remporte la course à Mars et perd l’ambassadeur de la dite planète, lorsque l’effondrement de la fonction d’onde conduit à la toxicomanie et au sexe, lorsque les petits hommes verts cessent de dire "Salut Toto!" en se perchant sur les montant de votre lit de noces pour slamer dans la fosse des Dead Kennedys, c’est du Roland C. Wagner et c’est grand !

 

L.G.M. : trois grains d’ellébore dans votre coca light ?

      

Et Roland?

Encore!